Description de Votre Personnage
Dans un premier premier temps, il faut savoir qu'Angelo n'est pas un méchant né. Oh, ce n'est pas mère Térésa non plus, gardez vos crucifix, mais il est comme ça : avec un bon fond. Pour le prouver, il est par exemple le premier qui ira jusqu'à se mettre une armée de tueurs aux trousses, si c'est juste pour vous aider, vous, le gars croisé comme ça au milieu de la route, qui à eu la chance de vider son sac à la bonne personne. Enfin, la 'bonne personne', je m'emballe peut être un peu, si vous DEVEZ être mis au courant de quelqu'un de chose, c'est qu'Angelo, est l'homme le plus malchanceux au monde. Il trombe très souvent sur la plus mauvaise personne, au plus mauvais moment, pour la pire des aventures.
En outre cette malchance et cette gentillesse qui vous auront donné de lui une image positive, doivent vous faire comprendre que, oui, il est tout mignon avec ses traits innocents, peu assuré, et incroyablement généreux.
Mais enfin, ce n'est pas tout. Parce que oui, Angelo n'est pas une marie sue non plus. Ça aurait pu, mais son passé l'en a décidé autrement. Cette facette d'ange n'est rien lorsqu'il se retrouve obligé d'en faire autre chose. Il est capable d'être également un vrai enfoiré, ou un connard selon vos définitions. A cause de sa famille, on peut dire qu'il a acquis quelques réflexes ne collant pas tellement avec sa personnalité première. Comme dissimuler automatiquement un cadavre lorsqu'il en voit un... Rassurez vous, il le fait très bien. Comme démonter et remonter un gun de manière automatique... Soyez positif, s'il ne s'en sert pas. Angelo pourrait-il tuer ? On ne le sait pas, mais sachez bien que ce caractère angélique disparait totalement, lorsqu'il y est obligé.
Je suis né à Naples, pays de la mafia, paradis du crime. Alors, forcément, quand on vit dans le Paradis des Méchants, qui en passant s'appelle l'Enfer, on n'en ressort pas indemne. Bien évidemment, ma chance incroyable m'a fait naître dans une riche famille du crime organisé, tout le monde à Naples connaît les Di Lorenzo, di Salvatore, di Giuseppe, di Maria. Mon père aimait dire avec fierté que nous étions une large et puissante famille, négociant avec ses pairs. Avoir un maître du crime comme père n'a pas été à mon avantage. A l'école par exemple, l'endroit où se racontent pleins de choses... Je ne sais plus exactement pourquoi, mais il est venu à l'idée de quelqu'un que j'étais un être aussi diabolique que mon père, ainsi, plus personne ne m'adressa la parole, et je discernais un mélange de dégoût et de peur dans les regards. Pourtant, j'étais bien ce qu'il y avait de plus chétif comme enfant. En vérité, je suis né dans ce milieu, mais je ne me suis jamais impliqué. Il y a forcément des automatismes que j'ai dû prendre, mon père me donnait toujours une arme. A force de le voir la triturer nerveusement à table, j'en ai vu et j'en connais toutes les pièces et utilisations possibles. Puis il a commencé à déteindre sur moi. Mon père me battait souvent, je n'étais pas comme il voulait que je sois. Dans le fond, je pensais que c'était normal, vu que j'y étais habitué. Mais sans le remarquer, je devenais de plus en plus intolérant aux coups et affronts, en gros, mon père m'avait traumatisé sans le vouloir. Quand m'en suis-je rendu compte ? Il y a cette fois, où un petit garçon m'avait jeté une pierre, qui s'est retrouvé aux hospices, cette fois où mon ami en me tapotant l'épaule par surprise s'est fait borgne, cette fois où... Non je ferais mieux de ne pas raconter ça. Retenez qu'il fallait prendre mille pincette pour me toucher, et il faut toujours. Le contact physique m'est presque insupportable, enfin, je fais des efforts maintenant que je suis à Melbourne.
Bref, ma mère disait que je me transformais en démon, et mon père était fier de moi. Au final, lorsqu'il a sérieusement commencé à songer à faire de moi son héritier, j'ai fuit. Je ne pouvais pas faire autrement, tuer des gens, dealer de la drogue, vendre des armes... Non, je ne le voulais pas. J'admets avoir hésité à quitter ma famille, mes cousins, cousines, oncle... Mais au final, mon père me tuerait si je refusais d'accomplir ses projets. Alors je suis parti pour Melbourne.
Pseudo : Noise, appelez moi Nono
- Age : Oui.
- Prénom : Shanny - Connexion 7/7 - Tu nous a connu comment ?
- Un petit mot ? N'amour